
MOVIE MINI REVIEW : Upside Down
Un jeune crétin du monde du plancher tombe éperdument amoureux d’une blondasse du monde du plafond… On dit bonjour à UPSIDE DOWN, un délire fantastico-romantico-mongolo réalisé par l’argentin d’Argentine Juan Diego Solanas. OK… Donc deux planètes plates (tout va bien, c’est la fête aux neurones chez les scénaristes) vivent côte à côte, enfin l’une en dessous de l’autre, avec une espèce d’immeuble de bureaux gigantesque comme lien entre les deux mondes.
OK, le pitch est spectaculairement débile. UPSIDE DOWN c’est un peu les ROMEO ET JUILETTE de l’apesanteur cosmo-planétaire inversée quoi! Bref c’est spectaculairement nanardeux! Passé l’élément fantastique assez bien rendu (c’est visuellement bien foutu), UPSIDE DOWN n’est qu’un mélo idiot de plus. Jim Sturgess (vu dans le génial HEARTLESS) et la délicieuse Kirsten Dunst (MARIE ANTOINETTE, SMALL SOLDIERS) jouent aux amoureux impossibles de l’extrême de la théorie de la gravitation de la pomme à Isaac Newton. UPSIDE DOWN n’est rien qu’une rom-com de plus… Horriblement prévisible et désespérément superficielle… Et bien débile aussi… Ça dégouline de mièvrerie et de bons sentiments sucrés de tout partout. Quel torrent de conneries… Ça devrait être interdit d’être aussi naïf de nos jours!!! Pitoyable quoi…
En salles depuis le 1er mai
2012. Canada/France. Réalisé par Juan Diego Solanes. Avec Jim Sturgess, Kirsten Dunst, Neil Napier…
Moi qui pensais venir chercher une critique constructive et intelligente, voila que je tombe sur un micro-paragraphe sans aucun argumentaire, très dur et violent.
Vous n’aimez pas le film, pas de souci avec ça. Le film est un nanard mièvreux, ok tout va bien…
Mais là, j’ai vraiment l’impression que cette « mini review » a été écrite en 2min avant d’aller bosser.
Même s’ils sont mauvais, il ne faut jamais oublier de respecter le travail effectué sur les films que l’on critique : 4 ans de travail pour celui-là… Alors oui, c’est très long 4 ans pour pondre un navet, mais les mecs se sont quand même tué au boulot et condamner le résultat final à l’aide d’un simple « c’est de la merde c’est tout pourri », je ne trouve pas ça du niveau d’un site comme Daily Mars. Essayez de descendre les films à l’aide d’arguments cinématographiques et pas de simples insultes vides de sens.
Je vous aime quand même 🙂
Je pourrais être d’accord avec toi sur n’importe quel autre film, mais celui-ci est décidément une daube intersidérale qui mérite cette critique à l’arrache.
Pour moi cette critique convient parfaitement au film.
Un seul conseil : le trailer suffit.
j’aimerais bien mais je sais pas c’est quoi un argument cinématographique! 😉
et je n’ai jamais écrit, même pour le pire des trucs que j’ai pu voir « c’est de la merde c’est tout pourri ». Mais JAMAIS!
C’est absolument vrai ! Quoique, si ça se trouve, certains producteurs de film auraient peut-être préféré, tu sais… 😉
Le soir du jour où j’ai écrit mon petit message, je me suis motivé pour aller voir le film et me faire mon propre avis. Et j’avoue que, même si ta review ne m’a pas conquis, et bien j’y ai pensé devant le cinéma… et je suis allé voir autre chose 😀
Trop fort DR NO !!!
Gare à la puissance cérébralo-mongolo-cinéphilique du Dr No!!
On ne peut pas donner de critique constructive face à ce ramassis de guimauve sans s’engluer soi-même.
la critique constructive ça n’existe pas!
y pa plus subjectif comme procédé!
« On peut être subjectif et constructif », en vous fondant sur votre expérience personnelle et vos lectures, vous commenterez cette opinion de l’auteur.
Les calculettes sont-elles interdites ? :p
Le pire dans tout ca, arrive des le debut :
dés que c’est fantastique, SF, ou fantaisiste, on a son lot de « codes » ou de « regles » qui s’installent. La, par paresse narrative, on vous les balance direct « alors attention y’a quelques regles par contre », et putain, les regles toutes pourries : « un objet brule s’il reste plus de dix minutes sur… blablabla »
Serieux, c’est un gosse de dix ans qu’a ecrit le scena…
Et le polen tout rose, faut pas oublier le polen rose des abeilles.
C’est vrai que ça ne pète pas 4 pattes à un canard. Cloud Atlas avait ouvert la voie de la claque visuelle de coquilles vides, et Upside Down fait partie du lot.
Très joli mais nian-nian a mort!
ma fille de 8 ans m’en a parlé , elle m’a dit que ca devait être géniale ( enfin elle a du voir une pub sur dans Mickey magazine ou autre?)
Si ta fille kiff les poneys, ça devrait le faire.
Comme les 12 dernières chroniques de dr no de films qu’il a pas aime sont identiques en terme d’arguments ou de vocabulaire, moi je croyais que c’était pour faire stylé humour fou fou, période starfix (pour capter les lecteurs quadras). Ah mais non, chaque fois, c’est pensé alors ? L’hallu, je suis bien déçu.
j’ai jamais lu Starfix de ma vie…
ça fait plus d’un an maintenant (longtemps avant mon arrivée sur le Dailymars) que je m’amuse à faire des mini chroniques…
Elles sont écrites très vite après la vision du film. Elles sont le reflet de mes réactions à chaud. Cet exercice de rapidité est volontaire.
Le résultat est inégal. Des fois je suis inspiré, des fois non et les tics d’écritures (que j’essaie de combattre) sont mes pires ennemis.
Ha bon ? C’est pas James Bond ?
warf!
l’autre écossais alcooliques érotomane ultraviolent?
nan… Tu lui balance une blondasse dans les bras et il te laisse tranquile!